BUDGET 2019, un enjeu central ! > Le Ministère de la culture n’a toujours pas notifié à la BnF son budget pour 2019. C’est le moment de se mobiliser encore plus massivement !
Alors que la BnF a perdu quelques 270 emplois depuis 2009, engendrant surcharge de travail, conditions d’activités détériorées, réorganisations et précarité, etc. une nouvelle vague de suppression de postes devrait intervenir en 2019.
Comme en 2016 et 2017, où la grève des personnels de la BnF avait permis de sauvegarder les emplois et les budgets de la BnF, continuons la mobilisation.
Gagner des renforts en effectifs, c’est gagner de meilleures conditions de travail, c’est préserver nos missions et nos week-ends et c’est combattre la précarité !
Mobilisons-nous également pour une redistribution immédiate du 1/2 million d’euros du ministère concernant les primes BnF.
EMPLOIS, CONDITIONS DE TRAVAIL, PRIMES & DÉFENSE DE NOS WEEK-ENDS
A l’appel de la CGT BnF – FSU – SUD Culture.
> PRIMES, REDISTRIBUTION URGENTE DU DEMI-MILLION D’EUROS BUDGÉTÉ PAR LE MINISTÈRE EN FAVEUR DES AGENTS DE LA BnF ! Désormais, le Ministère de la culture alloue à la BnF 540.000 euros afin d’augmenter les primes de ses personnels. Si le Musée du Louvre a immédiatement anticipé cette mesure au début de l’été (avec effet rétroactif au 1er janvier 2018) à la BnF rien de tel. Alors que les prix ne cessent d’augmenter et que les salaires stagnent (aucune augmentation à part celle liée à l’ancienneté), ce manque de réactivité de l’administration est scandaleux ! Il faut gagner une redistribution immédiate et équitable de ce demi-million.
> LES PISTES DE RÉGRESSION DE LA DIRECTION POUR FAIRE FACE AU SOUS EFFECTIF LE WEEK-END À LA BnF : devenu symptomatique de la situation de sous-effectif que connaît la BnF (suppression de 90 postes de magasiniers depuis 2009), la direction souhaite ne plus communiquer de documents le samedi matin (entre 9h-14h) et transférer l’ensemble des prélèvements sur les équipes de l’après-midi. Ce qui entraînera une dégradation considérable des conditions de travail.
De plus, pour obliger les personnels à faire plus de 10 samedis dans l’année, les heures supplémentaires seraient désormais réservées aux week-ends (les agents travailleraient 11 jours avec un seul jour de repos) et à certains chantiers. Une hausse des primes serait enfin envisagée si l’agent fait 16 samedis. Chantage inacceptable, d’autant plus cynique que la BnF bénéficie désormais d’un demi-million d’euros/an en plus pour améliorer les primes de l’ensemble de ses personnels… Les magasiniers seraient-ils encore une fois les grands perdants après avoir absorbé plus de 35% des suppressions de postes de la BnF. Enfin pour les « vacataires », la direction souhaite réintroduire des contrats courts à la place des CDI. C’est un recul inacceptable.
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