Suite à un message de la direction aux organisations syndicales, la CGT BnF souhaite réagir :
Interdiction de diffuser des tracts d’information aux usagers, interdiction d’occuper les locaux pour en appeler à la solidarité financière des lecteurs, menace d’expulsion des grévistes… Du jamais vu dans la troisième plus grande bibliothèque du monde, pourtant porteuse de valeurs démocratiques et d’un idéal de partage et de transmission des savoirs.
Choquant également les règles contraires au droit misent en oeuvre dans de trop nombreux services pour limiter l’impact de la grève. La hiérarchie, pressée par la direction d’ouvrir les salles de lecture coûte que coûte, demande aux agents de se déclarer gréviste à l’avance, de donner leur numéro de téléphone personnel, de remplacer des grévistes au mépris de leurs fiches de poste, contrats, catégories…
La CGT BnF dénonce avec la plus grande fermeté cette dérive et rappelle à la direction que la liberté d’expression, le droit d’informer les usagers ne se négocient pas et que le droit de grève ne peut subir aucune restriction.
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