
Outre la question des salaires qui sans les primes ne valent guère plus qu’un SMIC, le quotidien d’un magasinier c’est aujourd’hui :
– Un déroulement de carrière indigent : il faut, par exemple, 10 ans d’ancienneté à un magasinier de 2nd classe pour gagner 23 euros de plus
– Un blocage des salaires inacceptable : un agent de catégorie C perd environ 250 euros/mois en raison du décrochage des salaires par rapport à la hausse des prix depuis les années 2000 auquel s’est ajouté le gel du point d’indice (depuis 2010) servant à calculer les rémunérations des agents de l’Etat
– Des conditions de travail dégradées : en raison des baisses d’effectifs et de l’usure physique due aux caractéristiques de l’activité
– Des avancements au compte goutte : les concours internes ou promotions offrent très peu de possibilités. Pour les quelques 1500 magasiniers promouvables chaque année en catégorie B seule une trentaine de postes sont ouverts
– Des mutations de plus en plus difficiles : en 2008 on comptait encore quelques 140 postes mis au mouvement, en 2014 ils n’étaient qu’une cinquantaine
« Si on s’arrête, tout s’arrête » : une mobilisation nécessaire ! Les personnes migrantes ou étrangères interviennent dans de +
La F3SCT (formation spécialisée santé sécurité et conditions de travail) est la nouvelle dénomination du CHSCT. Elle est présidée par +
La CGT BnF et les personnels que nous représentons tiennent à faire part aux membres du Conseil d’administration leur forte +
Alors que la BnF a perdu plus de 300 postes en 15 ans, les suppressions d’emplois repartent à la hausse +
Intersyndicale BnF CGT – FSU – SUD MANIFESTATION : mardi 2 déc. 14h Place de la Bourse, RDV BnF : +
Mettons fin aux violences sexistes et sexuelles dans la société et au travail Le 25 novembre, la CGT BnF réaffirme +