
Le manque de moyens humains et budgétaires consacrés au fonctionnement de la Bibliothèque nationale de France devient de jour en jour plus criant. Les personnels, lecteurs et usagers de la BnF continuent d’être soumis à des mesures régressives qui dégradent à chaque fois davantage les services proposés au public et les conditions de travail des agents. Ainsi plus de 300 emplois ont-ils été détruits en dix ans.
Dans le but de supprimer à nouveau des postes, la direction de la BnF, après avoir automatisé les vestiaires, veut imposer à partir du mois de mai la fin des communications directes des documents conservés dans les magasins jusqu’à 13h, leur communication n’étant désormais possible que l’après-midi. Cette réorganisation ne fera que concentrer la charge de travail et les cadences sur des périodes toujours plus courtes, au détriment des conditions de travail, tout en réduisant les services offerts au public.
Les usagers de la BnF nous soutiennent, à travers une action éclair et massive (plus de 13 000 signatures sur les deux pétitions en quelques jours) et exigent le retour aux missions historiques de la BnF et des moyens humains et financiers à la hauteur de cet enjeu pour la plus grande bibliothèque de France.
*Vous disposez d’une autorisation d’absence d’une heure sur votre temps de travail pour assister à ce RDV (décret du 28 mai 1982)
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