La fraude fiscale, un fléau national : la fraude ronge les finances publiques (moins 80 milliards par an) et en conséquence nos services publics. En retirant de l’argent de la communauté nationale – ou plutôt en freinant les rentrées – les fraudeurs sont directement responsables de la suppression d’écoles, de routes, d’hôpitaux…
La crise des finances publiques est bien une crise des ressources et non une crise des dépenses : la législation de plus en plus complexe permet aux plus fortunés, qui sont en général les mieux conseillés, d’échapper à leurs devoirs envers la communauté. Cette législation rend plus difficiles et complexes les contrôles fiscaux vis-à-vis des entreprises. Alors que 100% des revenus tirés des salaires et pensions sont contrôlés, seulement 5% des entreprises le sont !
La CGT-Finances a rendu publics ces chiffres :
L’analyse de la CGT : c’est la sous-rémunération du travail qui a provoqué les crises économiques et sociales. En 1981 les dividendes versés aux actionnaires représentaient 10 jours de travail par salarié, en 2012 ils représentent 45 jours soit 4,5 fois plus. Il est urgent de revaloriser significativement les salaires, les minima sociaux, les traitements et les pensions et de privilégier la rémunération du travail plutôt que l’accompagnement à la spéculation.
La CGT propose :
Renforcer les effectifs et améliorer les conditions de travail Défendre les budgets et les missions Augmenter les rémunérations Défendre le +
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