
Les politiques d’austérité mises en œuvre par le président de la République et les gouvernements précédents appauvrissent les classes moyennes et populaires et multiplient les inégalités.
► augmentation du forfait hospitalier (200 millions €),
► baisse des APL (1,7 milliards €),
► instauration du jour de carence en cas d’arrêt maladie pour les agents de l’Etat (270 millions €),
► baisse des budgets en faveur des services publics (15 milliards € de coupes budgétaires d’ici 2022 avec la réforme Action publique 2022),
► gel du point d’indice servant à calculer les salaires dans la fonction publique (1 milliard € pour un gel de 1 % du point d’indice),
► augmentation de la CSG dont le coût n’est pas encore stabilisé et toujours des taxes sur les produits de première nécessité.
Cette liste n’est pas exhaustive ; l’annonce de près de 4 milliards d’économie faite sur le dos des chômeurs en dit long sur la volonté du gouvernement de s’en prendre, encore une fois, aux plus faibles. Ces sacrifices supportés par la majorité de la population servent à financer les cadeaux fiscaux en destination des plus riches.
En 2018, les cadeaux fiscaux en destination de ceux qui détiennent déjà les richesses :
► la baisse du prélèvement forfaitaire sur le capital (1,3 milliards €),
► la suppression de l’ISF (l’impôt de solidarité sur la fortune : 3,2 milliards €),
► la baisse de l’impôt sur les sociétés (3,4 milliards €),
► le CICE (20 milliards € donnés au patronat, résultat… pas grand chose, si ce n’est rien, par rapport au million d’emplois promis par les chefs d’entreprises en contrepartie de cette « aide » qui atteindra les 40 milliards € en 2019),
► la suppression de la quatrième tranche de taxe sur les salaires les plus élevés (0,6 milliard €),
► le crédit impôt recherche (6 milliards € d’argent public donnés au patronat, une « aide » pour une partie détournée de sa fonction d’origine par les entreprises d’après plusieurs études).
Ces mesures profitent donc à une minorité à hauteur de 34,5 milliards d’euros. Il serait utile d’ajouter l’évasion fiscale dont le coût est estimé à 80 milliards €/an de manque à gagner pour les finances publiques. Comment ensuite financer l’action de l’Etat en faveur de la population, notamment au travers des services publics ?
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